Relevez le Défi je mange local, une bouchée à la fois! - Caribou

Relevez le Défi je mange local, une bouchée à la fois!

Présenté par

Publié le

02 octobre 2023

Texte de

Défi je mange local

Manger local, c’est bien. Manger local à l’année, c’est encore mieux! C’est pourquoi le Défi je mange local (anciennement Défi 100% local) se déroule maintenant sur 12 mois, et pas qu’en septembre. Engagez-vous dans un parcours annuel ludique qui vous offrira du contenu exclusif, des conférences d’invités renommés, des ateliers, des prix à gagner et un calendrier d’activités pour manger toujours un peu plus local!
manger local
Crédit photo: Karina artiste
Manger local, c’est bien. Manger local à l’année, c’est encore mieux! C’est pourquoi le Défi je mange local (anciennement Défi 100% local) se déroule maintenant sur 12 mois, et pas qu’en septembre. Engagez-vous dans un parcours annuel ludique qui vous offrira du contenu exclusif, des conférences d’invités renommés, des ateliers, des prix à gagner et un calendrier d’activités pour manger toujours un peu plus local!
publicité

Propulsé par le Regroupement des Tables de concertation bioalimentaire du Québec (en partenariat avec Aliments du Québec et le MAPAQ), le Défi je mange local propose un accompagnement axé sur le plaisir et, surtout, exempt de pression. Cette toute nouvelle formule plaira à coup sûr aux locavores des quatre coins de la province, des néophytes aux plus aguerris.

«L’alimentation locale, ce n’est pas plate. Il faut arrêter de penser que manger local, c’est cuisiner du navet à l’année!», insiste l’ambassadrice Véronique Bouchard, propriétaire de la coopérative de solidarité Aux petits oignons, à Mont-Tremblant.

«S’alimenter selon les saisons, c’est nourrir notre émerveillement devant l’abondance de laitue au printemps. C’est attendre avec hâte la saison des fraises. C’est aussi savoir transformer et conserver les aliments pour prolonger le plaisir de janvier à décembre. J’ajoute des petits fruits congelés à mes smoothies. Et je ne peux imaginer mes poke bowls sans l’umami d’une betterave ou d’une carotte lactofermentée.»
Véronique Bouchard

Échanger et apprendre sans pression

En vous inscrivant au Défi Je mange local, vous découvrirez sur la plateforme en ligne exclusive: des aliments de niche méconnus, des techniques de jardinage pas piquées des vers, des méthodes de conservation inédites, des nouveaux lieux d’approvisionnement, des astuces zéro déchet et des recettes originales qui titilleront les papilles de vos invités.

Le programme déborde d’outils, de trucs et d’astuces qui vous aideront à tendre vers une alimentation de plus en plus locale, une bouchée à la fois! Quelles huiles locales peuvent remplacer l’huile d’olive? Quelles astuces utilisent les chefs pour cuisiner la viande locale? On a les réponses!

«L’objectif n’est pas de s’alimenter entièrement de produits locaux, mais bien d’y aller progressivement, dans le plaisir et la découverte, en solo, en famille ou en communauté. Nous avons repensé le défi pour qu’il soit accessible, inclusif et plus réaliste. On veut faciliter la vie des gens qui souhaitent changer doucement leurs habitudes», souligne Karina Marquis, responsable des communications et de la promotion au Regroupement des Tables de concertation bioalimentaire du Québec.

Un groupe Facebook privé (Les bouchées doubles) deviendra rapidement un lieu d’échanges et d’apprentissages où les inscrits seront invités à partager leurs essais, leurs erreurs et leurs bons coups.

Crédit photo: Yan Kaczynski

Véronique Bouchard souligne l’importance de se réapproprier nos savoirs culinaires, autrefois transmis de mère en fille, et d’en développer de nouveaux. «On peut cuisiner en famille, entre amis ou dans les cuisines collectives pour apprendre les uns des autres et s’ouvrir à la richesse multiculturelle culinaire. Pourquoi ne pas faire du kimchi avec des aliments d’ici!»

Les régions en vedette

Manger local, c’est s’approvisionner le plus près possible de chez soi, à commencer par les fruits et légumes qui poussent dans notre jardin. C’est réduire notre empreinte écologique, tout en encourageant les producteurs et transformateurs de notre communauté ainsi que les commerces de proximité. Plus largement, c’est également valoriser l’unicité des produits de toutes les régions du Québec.

«On doit apprendre à apprécier ce que le terroir a à nous offrir selon les régions et au gré des saisons afin de soutenir notre résilience alimentaire collective», avance Véronique Bouchard, aussi autrice du livre Cuisiner sans recettes (Éditions écosociété). Il est important de valoriser l’offre régionale à travers la province, soutient-elle, comme les fruits de mer et poissons de la Gaspésie ou les pommes de la Montérégie.

C’est ce que compte faire le Défi je mange local qui, tous les mois, mettra en vedette une région (et ses produits) via la plateforme en ligne, des infolettres divertissantes et sa page Facebook. Les Tables de concertation bioalimentaire régionales prépareront du contenu unique et vérifié, tout en exploitant des thématiques rassembleuses comme: «célébrons», «cocooning local», «recevoir». On souhaite ainsi voir émerger de fiers mangeurs locaux qui contribueront à l’autonomie alimentaire des régions.

Manger local: ça fait du sens!

Au-delà du bonheur de savourer des produits frais et goûteux, manger local est un geste engagé qui fait vivre des familles, qui dynamise le territoire, qui renforce le tissu social et qui fait tourner l’économie locale. Vous y contribuez en vous abonnant à des paniers bio, en visitant votre marché public ou en fréquentant la boulangerie du quartier.

«Manger local, c’est se réapproprier la cuisine en tant qu’activité porteuse de sens et de plaisir», résume la fermière Véronique Bouchard.

Relevez le Défi je mange local

Relevez le Défi je mange local en mettant plus de produits locaux dans votre assiette à l’année! Pour participer, inscrivez-vous gratuitement au defijemangelocal.ca.

publicité

Plus de contenu pour vous nourrir