Est-ce qu’il pourrait y avoir plus de programmes adaptés à nos défis en lien avec la pénurie de main-d’œuvre et de logements?
Sans doute: l’agriculture devrait être prioritaire puisque manger, c’est un besoin de base, trois fois par jour.
Et comme consommateur, est-ce qu’on se tourne vers des produits importés dès qu’ils sont quelques sous de moins?
Si on veut avoir accès, chez nous, à des aliments de qualité, frais, savoureux, meilleurs pour nous comme pour toute une économie locale et pour la vitalité de l’agriculture écologique sur notre territoire, on peut se dire que quelques sous de plus permet aux fermiers d’être moins précaires et, au final, de pouvoir envisager offrir des salaires qui s’approchent de ceux qu’on aimerait tous voir sur les offres d’emplois.