Pour le printemps, Caribou emprunte divers CHEMINS! Il y a les chemins que prennent nos aliments, ceux empruntés pour faire des découvertes culinaires, ceux qui racontent une histoire, ceux que prennent nos vies sans qu’on s’y attende… C’est aux CHEMINS dans tous les sens du terme que Caribou consacre sa nouvelle édition printanière.
Ce numéro est en prévente et sortira en kiosque officiellement le 1er mai. La livraison de ce numéro est gratuite jusqu’au 22 avril.
Vous voulez profiter du temps des fêtes pour rattraper un peu de lecture? Caribou a sélectionné pour vous les 10 articles les plus lus en 2022. Clairement, cette année, vous avez été préoccupés par le prix des aliments, à voir les textes en tête de peloton, ainsi que par les vins du Québec. Bonne lecture!
Enora Cordier a été maraichère en France où elle a grandi et vécu. Elle a également travaillé pendant deux saisons aux Jardins de la Grelinette, microferme bio intensive non mécanisée, située à Saint-Armand, en Estrie. À la suite de son expérience dans les marchés publics à vendre les fruits de son dur labeur, Enora partage dans cette carte blanche ses questionnements sur le juste prix à payer pour ces produits.
Les agriculteurs font face à de nombreuses remarques, notamment sur les prix de leurs produits ou sur leurs méthodes de production. Dans cette bande dessinée, l'agricultrice Véronique Bouchard et l'illustratrice Mélika Bazin tentent d’expliquer pourquoi la botte de carottes bios du Québec coûte 4$.
Pendant la saison des récoltes, les étals sont remplis de produits aux couleurs et aux saveurs spectaculaires. Vous avez envie d’essayer de conserver un peu de cette précieuse fraîcheur estivale pour la consommer en plein cœur de l’hiver? Nul besoin d’être un pro de l’autoclave pour faire des provisions. Catherine Sylvestre, agronome et directrice de la production maraîchère à la Ferme des Quatre-Temps, à Hemmingford, et Jean-François Phaneuf, propriétaire des Jardins du Vieux Marché, à Saint-Hyacinthe, suggèrent cinq aliments à acheter en grande quantité à l'automne pour les consommer plus tard, le tout sans trop d’efforts.
Le 20 août dernier, Patrice Demers et sa partenaire en affaires comme dans la vie Marie-Josée Beaudoin ont mis fin à une belle, mais effrénée aventure qui aura duré presque neuf ans. Patrice Pâtissier a fermé ses portes au grand dam de sa fidèle clientèle qui devra faire le deuil des gâteaux et des pâtisseries exécutées avec finesse par Patrice et son équipe. Caribou a discuté avec les principaux intéressés.
En été, des hordes de visiteurs se déplacent en Gaspésie pour admirer la vue… et manger de délicieux poissons et fruits de mer! Le homard gaspésien, tout particulièrement, fait saliver bien des gens. Saviez-vous qu’on ne mange pas le homard de la même façon «en ville» et en Gaspésie? On vous explique ce que cela veut dire, manger un homard à la mode gaspésienne.
Une élection, qu’est-ce que ça peut changer pour les vignerons du Québec? Sébastien Daoust espère un grand dépoussiérage des règlements sur les alcools du terroir au Québec. Démonstration en quatre exemples des raisons pour lesquelles notre province aurait besoin d’un bon coup de balai!
La chroniqueuse en vin Nadia Fournier a publié en octobre son tout dernier Guide du vin, aux Éditions de l’Homme. Cette autodidacte, dont on peut aussi lire les chroniques dans le magazine L’actualité et le Journal de Montréal, nous parle de ses 16 dernières années à la tête du célèbre guide et de l’évolution des vins québécois, qu’elle a pu constater ces dernières années.
Pour un amateur de vin, le Québec est un endroit rêvé. Qui plus est, nous avons la chance aujourd'hui d’avoir des vins locaux qui sont maintenant capables de rivaliser sans gêne la vaste offre mondiale. Mais d'ici trois ans, trois nouvelles règles ou lois arriveront et feront augmenter le prix des bouteilles d'ici. Le vigneron Sébastien Daoust analyse la situation.
Depuis huit ans, le conseil de bande de Lac Simon, une communauté autochtone de l’Abitibi, organise la production de sirop d’érable selon la méthode traditionnelle anishnabe. Le sirop est produit par le service d’éducation de la communauté au bénéfice des enfants du primaire et du secondaire. L’objectif: enseigner et perpétuer cette tradition ancestrale.