Dans le panier de… Samuel Piette

Pour faire écho à notre nouveau numéro qui porte sur les Épiceries, nous avons demandé à quelques personnalités d’ici ce qu’elles mettaient dans leur panier. Question d’assouvir notre curiosité. 

Texte de Pénélope Leblanc

Après des séjours en France, en Allemagne et en Espagne, c’est maintenant ici que le joueur de soccer Samuel Piette fait son épicerie. Un des joueurs de la Major League Soccer les plus connus du Québec peut-il se permettre quelques gâteries? À lire dans cet entretien avec le numéro 6 de l’Impact de Montréal. 

Nom: Samuel Piette
Profession: Joueur de soccer professionnel
Âge: 26 ans
Nombre de personnes à la maison: 3 (2 adultes, 1 bébé)
Régime alimentaire: Omnivore
Région ou quartier: Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, Montréal

En matière d’alimentation, quelle est la réalité d’un joueur de soccer professionnel au Québec?

À l’Impact, en saison régulière, on s’entraîne le matin. Donc le déjeuner nous est offert avant l’entraînement, puis le dîner après. Le soir, on peut se gâter un peu plus, mais comme j’ai toujours fait du sport, c’est naturel pour moi de bien manger. C’est sûr que des fois je me fais plaisir avec quelque chose de chocolaté par contre! Comme je ne suis pas à la maison pour tous les repas, ma copine et moi on fait de moins grosses épiceries. On préfère y aller plus souvent au jour le jour. 

Quel est le menu habituel d’un membre de l’équipe du Bleu-Blanc-Noir?

Pour ma part, je mange beaucoup de pâtes, du riz et évidemment des protéines! En ce moment, avec l’équipe, on est à temps plein aux États-Unis, donc je ne m’occupe plus de faire l’épicerie ou de cuisiner pour l’instant.

Qu’est-ce qu’il y a à tous les coups dans ton panier? 

Du lait! Peu importe s’il en reste à la maison, dès que je passe à l’épicerie, j’en achète. C’est essentiel pour le café et les biscuits! 

Ce qu’on ne trouvera jamais dans ton panier? 

En fait, on peut retrouver pas mal de tout dans mon panier! Quand j’étais jeune, j’étais difficile, mais pour le soccer j’ai beaucoup voyagé et on n’avait pas vraiment le choix de manger ce que le chef du club nous préparait. Ça a ouvert mes horizons, j’ai découvert plein de mets de cultures différentes. Maintenant, je mange de tout et j’aime tout. 

Dans quel type de commerce fais-tu tes courses? 

Pour les aliments de base, on va au supermarché, mais pour la viande on adore une toute petite place près de chez nous, ma blonde et moi. Aussi, on est fans de la Maison du Ravioli à Saint-Michel pour les pâtes. 

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